• Jean-Claude ETIENNE 
      Arnaud ROBINET   Jean-Claude THOMAS  Catherine VAUTRIN

    vous invitent aux
    ATELIERS DU CHANGEMENT
    sur le thème
    « Enseignement supérieur et recherche :
    Atouts pour Notre Région »

    le Samedi 23 Janvier 2010
    de 10h00 à 12h30
    salle des Régates Rémoises
    2 rue Clovis Chezel à Reims

    En présence de

    Benoist APPARU, Secrétaire d'Etat chargé du Logement et de l'Urbanisme
    Adjoint au Maire de Châlons-en-Champagne

    Jean-Luc WARSMANN, Député des Ardennes
    Président de la commission des lois de l'Assemblée Nationale
    Maire de Douzy


    1er débat : Enseignement supérieur : quel avenir dans notre région ?
    2e débat : Recherche et développement économique : Mythe ou Réalité ?

    Avec Richard VISTELLE, Président de l'Université de Reims Champagne-Ardenne,
    François BONVALET, Directeur de Reims Management School
    Yves DELMAS, Directeur de l'IUT de Reims-Châlons-Charleville
    et François-Xavier MAQUART, Professeur de bio-chimie à l'URCA, Chef de Service Bio chimie du CHU

     


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    Philippe Séguin


    1943 - 2010

     

     



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    Les esprits s’agitent depuis la publication par la Conférence des Grandes Ecoles d’un texte dans lequel elle désapprouve toute notion de quota et une réaffirmation que les concours doivent être les mêmes pour tous.

    Certains semblent avoir été choqués par cette position qu’ils qualifient de conservatrice, pourtant à la base de la méritocratie républicaine.

    L’entrée dans les Grandes Ecoles se fait sur le mérite, celui de la réussite à des concours souvent difficiles. Si il est certain que ceux qui ont le moins doivent recevoir davantage d’aide de la part de la société, il faut prendre garde aux fausses bonnes solutions.

    Réserver une partie des places d’un concours aux élèves de ZEP ou aux élèves boursiers constitue de facto la création de deux catégories d’étudiants distinctes alors que l’objet d’un concours était de n’en créer qu’une seule, sur le critère de la réussite, sans stigmatisation sur l’origine sociale du candidat. Rappelons qu’il y a dix ans, la Cour Suprême des Etats-Unis a censuré la discrimination positive : elle avait été saisie par des étudiants noirs qui se plaignaient de la dévalorisation de leurs diplômes.

    Ce n’est pourtant pas une raison pour ne rien faire face à des inégalités sociales. Personne ne peut nier que naître dans une famille aisée permet d’accéder à davantage de ressources sur le plan culturel et sur l’aide à la réussite.

    Le gouvernement a déjà des réponses qui vont dans le bon sens avec par exemple des mesures d’accompagnement au concours et l’aide individualisée.

    Concernant les Grandes Ecoles, nous pouvons aller plus loin en inventant de nouveaux dispositifs pour respecter la méritocratie, base de la Démocratie et pour mettre au même niveau d’égalité tous les candidats aux concours et leur permettre d’exercer leurs mérites. Il pourrait s’agir d’aides de l’Etat à l’inscription dans des prépa aux concours ou encore faire la promotion des prêts à taux 0% pour financer les études auprès des élèves boursiers. L’accès au concours constitue certainement une forme de discrimination par l’origine sociale mais le coût des études supérieures dans les Grandes Ecoles l’est autant.

    La reproduction des élites est une dérive permanente envers laquelle nous devons lutter pour garantir l’ascenseur social et la possibilité pour chacun de réussir, c’est l’âme de la République et de la Démocratie. Il faut accepter la discrimination positive à la condition qu’elle ne nous fasse pas renoncer à nos valeurs et surtout, à la condition qu’elle s’exerce dès le plus jeune âge et pas uniquement lors des concours pour accéder aux Grandes Ecoles.

     


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  • Dans le cadre de l'opération nationale lancée par l'UMP Facs «Entreprendre à la fac, et pourquoi pas ?» et parrainée par Laurent Wauquiez, l'UMP Facs - Reims s'est associée à l'UNI pour organiser un grand débat sur ce thème dans la cité des Sacres.

    Entouré d'une trentaine de jeunes étudiants et en présence du président du MEDEF Champagne - Ardennes Pierre Posseme, du chef d'entreprise et conseiller municipal rémois Jean-Marc Roze ainsi que du responsable communication de l'UMP Facs Philippe Laurence et Geoffroy Baudot venu également pour le lancement de l'UMP Filière Pro à Reims, la constatation a pu être faite de la difficulté pour un étudiant encore à l'Université de créer son entreprise.
    Comment redonner confiance aux jeunes pour qu'ils franchissent le pas de l'entrepreneuriat? Pourquoi en France l'écart est-il si grand entre l'Université et le monde de l'entreprise ? 
    Pourquoi est-il plus facile de créer son entreprise lorsqu'on sort d'une grande école plutôt que d'une fac ?

    C'est à ces questions que nos intervenants ont répondu en encourageant les étudiants à s'adresser plus facilement aux différentes structures comme le MEDEF, la CGPME, la Chambre de Commerce et d'Industrie, la Chambre du Métier et de l'Artisanat et d'autres qui conseillent et aident les nouveaux entrepreneurs.

    Le débat fut enrichi par le témoignage d'un jeune entrepreneur de 22 ans Kevin Fontaine qui partagea son expérience, fit part des difficultés de ses débuts et donna quelques conseils pour réussir notamment en s'aidant de l'excellente loi d'Hervé Novelli sur l'auto-entrepreneur. Les jeunes évoquèrent également l'absence de «Junior Entreprises » au sein de la faculté de Reims, c'est ainsi que l'UMP Facs - Reims avec l'aide de différentes associations étudiantes a décidé de réfléchir à un projet visant la création de cette structure qui manque tant à l'Université de Reims Champagne-Ardennes et qui pourrait réduire le fossé entre les étudiants des facs et le monde de l'entreprise. 
     
    Par Paul Saade 


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