• Camille BEDIN, Secrétaire nationale de l’UMP chargée de l’égalité des chances, était à Reims pour un déplacement consacré à l’insertion des personnes en difficultés.

     

    Aucun thème n’appartient à la Gauche ou la Droite, seules les réponses, que nous avons le devoir d’apporter, sont clivantes.

     

    L’égalité des chances doit être au centre de nos politiques publiques parce que notre idéal républicain réclame de la justice dans les réformes ainsi que la garantie que chacun puisse prendre l’ascenseur social et nous devons travailler sur ce thème avec une approche alliant responsabilité et solidarité.

     

    Cet après midi, nous avons visité deux associations/entreprises rémoises. L’une d’elle, Avenir Jeunes Reims, travaille sur l’insertion des Jeunes en les accompagnant vers des formations et un avenir professionnel mais aussi sur l’insertion d’adultes à travers notamment une entreprise de fabrication de coffrets pour le champagne. La seconde, Envie, réinsère des adultes en difficultés à travers une entreprise qui récupère et répare des télévisions et de l’électroménager.

     

    Ces deux structures, qui réinsèrent par le travail et la formation professionnelle, ont de bons résultats et permettent d’apporter des solutions à des personnes qui se trouvent en difficultés en raison de leurs origines sociales ou d’accidents de parcours.

     

    Camille BEDIN a ensuite rencontré les Jeunes Populaires de la Marne pour une discussion passionnante sur l’égalité des chances où nous avons particulièrement évoqué la discrimination positive et les différents dispositifs mis en place par le gouvernement.

     


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  • Mes chers amis,

    Avec la fin de mon année scolaire, j'ai la chance de pouvoir toujours plus me déplacer, et toujours plus savourer la culture jeunes populaires qui doit nous rendre si fiers et si heureux de nous engager aux côtés de Nicolas Sarkozy.
    Il est de bon ton sur son blog d'écrire après chaque déplacement que tel événement était formidable qu'un autre rassemblement était enthousiasmant. Il est beaucoup moins fréquent d'évoquer la culture jeunes populaires, véritable matrice de notre mouvement, qui nous habite nous tous du nouvel adhérent au RDJ en passant par le délégué de circonscription et le bientôt jeune actif.
    Cette culture, c'est d'abord la convivialité. Pas de politique ou d'ambition aux Jeunes Populaires sans sourire. Cette culture, c'est aussi l'unité de notre mouvement de jeunes ce qui lui permet d'afficher fièrement sa première place au sein des organisations de jeunesse de notre pays. Cette culture, enfin, c'est la découverte de talents et d'idées nouvelles, condition sine qua non pour réussir et apprendre.
    Cette culture, elle nous permet d'afficher et d'affirmer fièrement que nous sommes de droite. Une droite décomplexée qui défend le changement, qui reflète la société, une droite si déterminée à soutenir Nicolas Sarkozy.

    Depuis que j'ai 17 ans, alors lycéen, je suis fier d'être de droite et d'appartenir aux Jeunes Populaires. Je suis fier de faire vivre en équipe mes idées et mes valeurs. Je suis fier d'hériter du combat de tant de femmes et d'hommes pour la liberté, le mérite, la justice et la responsabilité.

    Cette fierté d'être de droite, nous le savons tous, elle n'est pas aisée dans bien des milieux étudiants, lycéens, professionnels ou même associatifs. Pourtant, nos valeurs n'ont rien à envier à nos adversaires de gauche. Etre sarkozyste, c'est défendre la valeur travail partout dans notre pays et à tous les niveaux de la société, et refuser l'assistanat, cette plaie qui a tant gangréné notre pays.
    Les Jeunes Populaires doivent plus que jamais soutenir le Président de la République et ce faisant, afficher fièrement leurs valeurs et leur confiance dans l'avenir de notre pays !

    Fiers d'être de droite ! Fiers d'être jeunes populaires !

     


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  • Conseils de Quartier : chronique des ratés du Nouveau Reims

    Présentés comme l'une des mesures majeures du Nouveau Reims, les conseils de quartier façon Adeline Hazan s'apparentent de plus en plus à des coquilles vides.

    Nous sommes témoins de la déception de plus en plus forte parmi les habitants et les responsables associatifs, quant à l'utilité même de ces conseils.

    Plusieurs éléments sont contestés:

    - Les ordres du jour sont trop éloignés des attentes des Rémois, les séances servant plus à la promotion de la politique -municipale qu'à l'écoute des problèmes des habitants
    - Les projets sont ficelés en amont, donnant l'impression amère de l'inutilité de ces séances
    - Les comptes-rendus reflètent peu le contenu des débats, qui portent sur des sujets éloignés des préoccupations des Rémois

    Résultat, la fréquentation est ridiculement faible, dépassant rarement la dizaine de personnes parmi le public.

    Dernier exemple en date, le choix du nom de la future maison de quartier à Wilson :

    Lors de la séance de ce conseil en novembre dernier, la mairie demande aux membres de se prononcer sur la dénomination du nouvel équipement. Chacun exprime son choix, la proposition municipale de musiciens est rejetée, quelle ne fut pas notre surprise, lors du conseil municipal du 25 janvier, d'apprendre qu'une chanteuse était retenue!

    Suite à notre demande, la Maire a retiré la délibération, et c'est lors du conseil de quartier du 22 avril 2010, que nous avons découvert que l'équipe municipale était encore passée outre le choix des habitants, en restant dans le cadre musical. Ce soir du 22 avril, dans la confusion la plus totale, les participants ont dû revoter et confirmé le choix initial des habitants.

    Certains ont exprimé leur mécontentement devant ce déni de démocratie et d'autres ont même claqué la porte !

    Cette situation est d'autant plus regrettable que les conseils de quartier ont précisément pour mission de redonner la parole aux habitants dans la gestion de la cité et de rapprocher élus et citoyens...

    L'objectif est loin d'être atteint !

    Les élus du groupe UMP/DVD

    Catherine VAUTRIN, Jean Marc ROZE, Evelyne BRUSCHI, Pascal LABELLE, Katia HOSTEQUIN, Xavier ALBERTINI, Kim ANCEAUX DUNTZE, Benjamin DEVELEY, Elisabeth VASSEUR

    www.catherine-vautrin.fr

     

     


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  • Comptes administratifs significatifs:

    Bilan année 2009
    Premier exercice d'un budget totalement défini et rédigé par l'équipe du nouveau Reims.

    Depuis deux ans, l'opposition dénonce une dérive des dépenses de fonctionnement qui génère une situation financière périlleuse, les Comptes administratifs le démontrent, elle avait malheureusement raison.


    En matière de fonctionnement:

    Le premier poste de dépenses est celui du personnel - la réorganisation des services et les transferts entre:

    Ville de Reims - Caisse des écoles
    Ville de Reims - Reims métropole
    Reims métropole - Reims 

    qui concernent près de 450personnes - nécessite de regarder les budgets des 3 entités pour avoir une vision globale.

    Malgré les engagements pris en Conseil municipal, nous ne disposons pas des chiffres consolidés.

    On nous explique qu'il existe un système informatique performant entre Reims Métropole et Reims, mais il est impossible de nous donner cette information.
    De là à penser que l'équipe municipale n'assume pas ses choix ou pire qu'elle craint la vérité des chiffres, il n'y a qu'un pas.

    Notre estimation est une hausse de plus de 10% de la masse salariale. Quant à l'indemnité des élus, la charge a augmenté de 46% en deux exercices.

    Dans le commentaire de la délibération sur les Comptes administratifs, on peut lire que «le montant alloué aux subventions aux associations a été limité et ne progresse que de 0.4%, ce qui illustre notre volonté de maîtrise des dépenses».
    Depuis deux ans, l'opposition réclame une vraie stratégie de baisse des dépenses de fonctionnement, des charges des entreprises, une stratégie plus responsable de maîtrise des dépenses, mais la majorité n'en a rien fait.


    En matière de dépenses d'investissement:

    On cherche à donner l'image d'une bonne gestion mais c'est un trompe l'œil: on réduit l'effort sur les dépenses d'avenir.

    Depuis deux ans et demi, toutes les inaugurations réalisées en grande pompe, à grands frais (encore de fonctionnement) sont l'héritage de Jean-Louis Schneiter (école, maison de quartier, tramway... demain le Boulingrin). La cité administrative semble avoir disparu, le grand musée oublié!

    Avec le Nouveau Reims, c'est toujours plus d'études, de brochures, de cocktails mais pas de réalisations d'avenir pour notre ville.


    En matière de recettes:

    Dès la semaine dernière, la Maire allumait les contre-feux invoquant un désengagement de l'Etat pour justifier la situation financière périlleuse de la ville.

    Pourtant, et par exemple, la simple augmentation des bases foncières a généré 3,6M€ supplémentaires sans hausse votée par la ville.

    L'équipe municipale donne des cours de finances publiques, mais le ratio d'endettement par habitant a encore augmenté. L'endettement de Reims Métropole a été multiplié par 2.

    JMR avait annoncé la baisse des taux et, donc, de la charge de la dette. Les faits démontrent la justesse de son analyse: 4M€ ont été économisés.

    Les taxes ont fortement augmenté avec le Nouveau Reims:

    2008: Taxe d'Enlèvement des Ordures ménagères - TEOM 
    2009: Taxe sur les Enseignes
    2010: La ville a commandé l'étude sur la suppression de l'abattement spécial de la taxe d'habitation.

    2009: première année d'application de la TEOM dans VRI N°249 octobre 2008, page13 - il est écrit qu'en moyenne un Rémois paierait 114€ de TEOM.
    C'est faux.
    L'opposition l'avait prédit à l'époque, la réalité est nettement plus chère:
    Pour 90m² à Reims, on se situe plutôt à 190€.

    L'opposition avait proposé que nous nous inscrivions parmi les collectivités pilotes afin d'avoir une TEOM en deux parties: une partie fixe et une partie basée sur la production de déchets.
    Aujourd'hui, quand la collectivité installe des containers enterrés, en partenariat avec les organismes logeurs, elle n'a pas retenu l'option de pesage des déchets qui permettrait à terme d'aller vers une partie variable.
    Nous l'avions proposé, la majorité l'a rejeté.


    La Taxe sur les Enseignes

    Article70 de la LME, l'opposition a interrogé la Maire au dernier Conseil sur les choix municipaux pour 2010.

    Une simple délibération prise avant le 1erjuillet permettrait de diminuer, pourquoi pas de supprimer, cette taxe à la charge des entreprises.
    Le manque à gagner est de 500.000€, que l'on peut retrouver par des économies en interne.

    Il n'y a aucune délibération en ce sens, inscrite au Conseil municipal de ce soir et le calendrier dont nous disposons ne prévoit aucun Conseil avant le 1er juillet, date limite pour prendre cette délibération.

    La majorité municipale veut donc continuer à taxer les commerces et les entreprises de notre ville quand l'opposition veut baisser les charges en période de crise.


    Deux ans et demi après l'arrivée du Nouveau Reims, le bilan est édifiant: 

    La situation financière se détériore par une dérive des dépenses de fonctionnement.

    Les Rémois paient cash une politique de poudre aux yeux. On affiche des priorités sociales, on gaspille l'argent public et les habitants subissent de nouvelles taxes: nous estimons que le coût moyen par famille rémoise est de 300€ par an (200 € de TEOM et 100 € d'impôt).

    - Pour les artisans, les commerçants et pour les entreprises, entreprendre à Reims; 
    c'est payer deux fois le traitement des ordures,
    c'est vivre caché pour échapper à la taxe sur les enseignes 
    et c'est financer au prix fort, par le versement transport, le tramway pour lequel l'Etat a apporté, outre 8,3 millions € pour le centre de maintenance, 45M€, dont on ignore encore l'utilisation: l'opposition avait proposé trois pistes; baisser le Versement transport, augmenter les indemnisations liées aux travaux du tramway, ou encore améliorer la voirie, la majorité ne les a pas retenues.

    La situation financière de la collectivité est préoccupante.
    Beaucoup d'annonces et de promotion, mais aucune réalisation d'avenir. La stratégie de défense commence à poindre à l'horizon,
    Un premier point presse pour dénoncer les désengagements de l'Etat,
    Probablement suivi demain de l'annonce d'une hausse des impôts sur le registre «je ne peux pas faire autrement c'est la faute de l'Etat»,
    L'opposition condamne cette politique dont les rémois ne peuvent faire les frais,
    Une véritable maitrise des dépenses est non seulement possible, elle est plus que jamais nécessaire, 
    Encore faut-il réduire le train de vie de l'hôtel de ville!

    Sans changement radical, Reims va s'enfoncer un peu plus dans la dette, dans la fiscalité, et ce sont les Rémois qui devront payer. Nous le dénonçons vigoureusement. 


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