• 2011, année utile.

    En 4 ans, il y a eu plus de réformes que sous aucun autre gouvernement des
    30 dernières années, beaucoup d’entre elles étaient nécessaires afin d’armer
    notre pays pour profiter de la mondialisation et non la subir.

    C’est donc une France plus forte que nous pourrons présenter en 2012.

    Plus forte sur la scène internationale avec la réduction de moitié des déficits
    en 2012, préparant ainsi la reconquête de sa souveraineté financière, le
    renforcement la zone euro et la présidence du G20, ô combien importante
    pour trouver une issue aux grands problèmes internationaux et par laquelle la France pourra faire
    entendre sa voix.

    Plus forte intérieurement également, avec la mise en place du service minimum dans les transports
    (pour que les usagers ne soient pas pris en otages des grévistes), l’augmentation de l’âge de départ
    à la retraite (indispensable face aux enjeux démographiques), la réduction des niches fiscales de
    10 milliards d’euros cette année (pour réduire la dette de notre pays), l’autonomie des universités
    (donnant à nos établissement les moyens de compter parmi les plus grandes universités mondiales),
    la réforme de la représentativité dans les entreprises (donnant plus de place aux partenaires sociaux et
    favorisant le dialogue social), sont autant de réformes réputées jusqu’alors impossibles et d’ores et déjà
    menées à bien.

    La poursuite de la plus profonde réforme de l’Etat depuis 20 ans, comprenant le gel des moyens
    ministériels, la réduction des dépenses de fonctionnement de 10% en 3 ans, la réduction du nombre de
    fonctionnaires, revenant cette année à leur niveau du début des années 90 !

    Le gouvernement fait ainsi le choix d’exploiter les gisements de productivité dont nous disposons
    plutôt que de choisir la facilité qui consisterait à augmenter encore la pression fiscale, déjà bien
    supérieure à la plupart de nos voisins européens !

    Le développement durable, qui consiste à assurer le développement actuel tout en ne compromettant
    pas le développement à venir, c’est aussi de ne pas amputer les marges de manœuvre de l’État et de ne
    pas léguer un fardeau de dettes aux générations présentes et futures !

    La France a besoin d’être réformée pour sortir de la crise plus forte qu’elle y est entrée, pour
    redémarrer plus vite et plus fort, et pour cela elle a besoin d’un gouvernement volontaire, gardant le
    cap et se focalisant sur ses priorités plutôt que de s’empêtrer dans les contingences politiciennes.

    Julien DAMELET


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