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    La municipalité avait lancé un projet, qui en soi était véritablement une bonne idée, l'auto-partage.

    Le principe est simple, il s'agit d'une idée calquée sur celle du Vélib' que l'on trouve à Paris, adaptée pour des véhicules dans la cité des sacres, ce qui permettrait une diminution de la pollution notament.

    La municipalité, atteinte de folie des grandeurs, a voulu se précipiter et fait porter le projet par CPA, Champagne Parc Auto, structure qui gère les parkings publics de Reims. Cette manoeuvre ayant été faite sans aucun appel à la concurrence, la municipalité a du abandonner le projet au bout de 6 mois feintant de ne pas savoir qu'il y aurait un risque juridique à attribuer le projet à CPA au détriment d'autres entreprises.

    Ce risque pris par l'équipe d'Adeline Hazan, coûte désormais à la ville une somme annoncée de 84 000€, bien qu'au dernier Conseil Municipal il ait été fait état d'une somme de 100 000€ au minimum! En effet, les véhicules loués et qui n'ont pas roulé ont été rendus au concessionnaire de la marque chosie. Un dédit qui coûte près de 28 000€ auquel s'ajoutent la facture à régler au cabinet de recrutement et les assurances avoisinant les 56 000€. 

    Ce gaspillage d'argent est purement scandaleux, et là encore on constate deux poids deux mesures entre la municipalité qui dépense et gaspille sans compter, et les Rémois(es) qui se serrent la ceinture.

    Rappelons que le Président de Champagne Parc Auto n'est autre que Stéphane JOLY, également Vice-président de la Communauté d'Agglomération et...adjoint à la maire! Le cumul l'empêcherait il de travailler avec raison?

    Non seulement ce Monsieur coûte lourdement plus cher avec la hausse de 36% des indemnités dont il bénéficie, mais il coûte aussi cher face à ses choix qu'il n'est pas en mesure d'assumer à l'image de ce raté concernant l'auto-partage. 
    Par Bertrand DUC

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  • Catherine VAUTRIN
    Député de la Marne
    Vice-présidente de l'Assemblée Nationale
    Ancien Ministre


    vous invite à une

    REUNION DEBAT

    sur « la réforme des collectivités locales »

    22 octobre 2009 à 20h00 à Cormontreuil 51350

    Salle de la Mairie, place de la République

    en présence de Monsieur Bruno SIDO Sénateur de la Haute-Marne Président du Conseil Général Chargé de la réforme des collectivités locales à l'UMP

    Merci de nous confirmer votre présence au 03 26 82 42 15


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  • L’idée de l’abaissement du droit de vote à 16 ans a été replacée dans le débat public par le syndicat lycéen UNL et la question a été évoquée lors d’un week-end de formation des responsables départementaux des Jeunes Populaires.

    Le droit de vote à 18 ans accompagne  l’entrée dans le monde des adultes puisque qu’il correspond à l’âge de la majorité et de l’émancipation. L’adulte nouveau reçoit alors de nouvelles responsabilités, des devoirs et des droits dont celui du vote.

    Le vote signifie l’expression d’idées mais surtout d’un pouvoir puisque son bulletin glissé dans l’urne est un pourcentage des suffrages de l’élection d’un Homme politique.

    Si nous considérons qu’un certain âge est nécessaire pour acquérir ce droit, c’est parce que le vote est un pouvoir que l’on ne peut donner qu’à une personne qui pourra faire un choix avec raison et conscience soit par ses connaissances, soit par son expérience.

    Aujourd’hui, personne ne peut affirmer que les adolescents de 16, 17, 18 ans détiennent une conscience politique assez développée pour pouvoir voter. Personne n’est convaincu que le parcours scolaire de l’école primaire à la classe de seconde offre une culture générale et une connaissance politique suffisante pour pouvoir exercer un choix raisonnable.

    L’argument à opposer à l’abaissement du vote à 16 ans est simple : ne pas donner un choix à une classe d’âge qui n’a pas encore acquis toutes les connaissances pour choisir. La connaissance des institutions, des clivages et de la méthode d’appréhension des débats publiques sont des conditions du choix de raison.

    Entre 16 et 18 ans, les adolescents n’ont ni les connaissances suffisantes en raison de leur formation, ni l’expérience suffisante en raison de leur âge. Et si nous voulons rajeunir la moyenne d’âge de l’électorat français, transformons d’abord l’école pour qu’elle sensibilise la jeunesse à la chose publique afin de lutter contre l’abstention chez les plus jeunes.

    Par Geoffroy LUDOT, Responsable des Jeunes Populaires de la Marne
    Publié le dimanche 11 octobre 2009 sur http://jeunespop51.over-blog.com

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  • Les Jeunes Populaires de la Marne se sont mobilisés toute la journée ce samedi en marge de la semaine de l'adhésion voulue par les instances nationales de l'UMP.


    Après avoir passé la matinée sur le marché du Boulingrin où nous avons offert café et viennoiseries aux passants en compagne d'Arnaud Robinet, nous nous sommes rendus sur la place d'Erlon où nous avons procédé à un tractage l'après-midi.

    C'était ainsi l'occasion de sensibiliser les rémois sur l'action du gouvernement de François Fillon et de Nicolas Sarkozy.
     
    publié le samedi 10 octobre 2009 sur http://jeunespop51.over-blog.com
     

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    Lors du Conseil Municipal de lundi dernier, la municipalité a voté (sans l'opposition) en faveur d'une subvention à hauteur de 160 000€ pour l'association Destination Reims. 

    La justification avancée étant celle de vouloir améliorer l'accueil touristique et des nouveaux arrivants via internet.

    Mais cela ne nous convient absolument pas, et comme l'a précisé la chef de file du Groupe UMP/DVD de l'opposition, Catherine Vautrin, ce projet fait doublon avec ce que fait l'office de tourisme qui s'est tout de même vu retirer 120 000€ de subventions. C'est donc un réel gaspillage qui se profile!

    Et, cerise sur le gâteau, on évoque le fait que Madame Hazan embaucherait une de ses amies, à savoir l'épouse de son directeur de cabinet, pour lui attribuer le poste inhérent à la gestion de la subvention! Aucune confiance ne peut donc être accordée quand à l'utilisation de cette subvention, d'autant plus qu'on ne sait quel sera le montant de son salaire ni les avantages en nature perçus...

    Il serait donc grandement souhaitable que la municipalité se reconcentre sur des dépenses bien plus judicieuses et arrête de gaspiller l'argent des Rémois(es). Ces derniers, rappellons-le, ont payé  depuis l'arrivée de l'équipe d'Adeline Hazan, une hausse des indemnités des élus de 36%, la réfection du bureau de Madame Hazan ainsi que des travaux dans l'hôtel de ville et plus récemment une hausse de 27% en moyenne des charges foncières générée par la mise en place d'une Taxe d'Enlèvement sur les Ordures Ménagères (TEOM) que les Rémois(es) paient déjà.  
    Par Bertrand DUC

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